La Commission européenne devrait prochainement permettre l'utilisation de protéines animales transformées provenant de non-ruminants pour l'alimentation des volailles et des porcs.
L'Anses rappelle, le 9 juillet, que seule une séparation stricte par espèces des sites et des circuits de productions (de l'abattoir jusqu'à la livraison en élevage), associée à des moyens de contrôle et de traçabilité permettra de limiter les risques d'a...
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