Il est possible que les chiens qui ont survécu assez longtemps pour se reproduire aient déjà eu des traits génétiques qui ont augmenté leur capacité à survivre.
Une étude étatsunienne montre que les différences génétiques observées chez les chiens vivant à proximité de la centrale nucléaire de Tchernobyl par rapport à une population de chiens de la ville ne résultent pas de mutations induites par les radiations. ...
VOUS AVEZ DEJA UN COMPTE
CONNECTEZ-VOUS
VOUS N'AVEZ PAS DE COMPTE
ABONNEZ-VOUS
pub
Lecture de La Dépêche Vétérinaire en cours sur un autre appareil
Vous pouvez lire La Dépêche Vétérinaire sur
un appareil à la fois